Alexandre C. Harker : The beginning.

Alexandre Christopher Harker

22 ans• Nevers, France • 1 année•

Caractère

Je ne suis ni simple ni compliqué. Je me rapproche rapidement des gens qui ont les mêmes opinions que moi, les mêmes rêves, la même passion. Je vis et je respire cheval, l’équitation est tout ce qu’il m’ait de plus cher, jamais je ne pourrais y renoncer, pour rien au monde, rien n’y personne ne pourra me faire reculer. On dit que je suis quelqu’un de têtu, c’est vrai je ne peux pas dire le contraire. Ceux qui ne me connaissent pas se demandent souvent pourquoi je suis autant obstiné à atteindre les buts que je me fixe, de relever les défis que j’entreprends de relever. Cependant, même si je me rapproche de certaine personne ce n’est pas pour autant que je vais les considérer comme des amis, je n’accorde ma confiance cas de rares personnes qui sont sincères avec moi et n’hésite pas à m’aider en cas de besoins. Ces mêmes personnes peuvent compter sur moi pour les épauler si à leur tour ils en ont besoins. On ma aussi souvent dit que j’étais d’une nature rancunière, c’est vrai que je ne suis pas simple à vivre si on me fait un sale coup, en général je garde bien ce qu’on me fait en tête, je n’oublis rien et je me venge. D’habitude je n’use pas de la violence malgré mon physique musclé mais lorsque l’on me pousse à bout, j’ai du mal à me retenir de lui montrer mon poing de très près. Ah oui, j’allais oublier, question amour on ne m’atteint pas facilement, il faut avoir de la patience avec moi et surtout des nerfs en acier et ne pas commencer à s’énerver - oui, je suis assez énervant -, le meilleur moyen de me parler ou d’essayer d’avoir une conversation avec moi se sera de me rencontrer lorsque je suis à cheval ou en compagnie de mon cheval, dans ces moments là je suis calme, comme apaisé par la douce présence des équidés.

Histoire/Passé

Simple. Voici comment je décris une enfance pas si particulière que l’on pourrait le penser. J’ai toujours aimé les chevaux et ma mère me faisait souvent montée sur l’avant de la selle avec elle. Elle, elle faisait du dressage, comme une danse harmonieuse entre elle et son cheval, on possédait deux chevaux, un étalon espagnol et une jument camarguaise, qui fut ma première monture à l’âge de 5 ans. Cette ponette grise se nommait Océane, un simple petit nom que j’adorais et qui à baigné toute mon enfance, malheureusement, je commençais à rêve d’apprendre l’équitation classique et non de la monte western, non, moi, je voulais faire comme ma mère mais je voulais aussi voler, apprendre à voler en harmonie par-dessus des obstacle plus grand que moi. C’est dans cette attitude que ma mère m’inscrivit dans un club équestre privée avec de bons chevaux pour me permettre de m’amélioré dans ce superbe domaine. Je nageais dans un rêve, l’équitation était tout pour moi et je continuais de grandir sous l’œil approbateur de mes professeurs et de ma mère. J’avais à présent 15 ans et j’eu enfin mon propre cheval, un magnifique cheval selle français de 6 ans d’un alezan tirant sur un roux scintillant. Buck. Voilà comment il s’appelait. J’avais grimpé les niveaux, galopant de concours en concours, volant sur des parcours encourageant, je travaillais sans relâche, tous les jours avec mon cheval, d’après ma mère, nous avions un style particulier de nous exprimer, à notre façon on s’entendait à merveille malgré nos caractères opposés.
C’est avec horreur que je le vis un matin, couché dans son box sans aucune vie … Des coliques. Il allait pourtant bien, tout allait bien la veille. Je ne vais pas m’attardé la dessus, mon premier cheval était mort et je n’en voulais pas d’autre. Les années passèrent, je les passais sur le dos de l’étalon de ma mère, notre espagnol de dressage et non d’obstacle, ce que j’aimais par-dessus tout. Pour mes 21 ans, ma mère en eut assez de me voir me lamenter sur mon sort, elle m’inscrivit pour l’année suivante dans une académie équestre et alla m’acheter un nouveau cheval, une jument cette fois, elle ne ressemblait pas du tout à Buck mais elle aussi était mignonne, après tout, la vie continue. Ah, vous vous demandez certainement pourquoi je n’ai jamais parlé de mon père durant cette courte histoire, c’est très simple : je ne l’ai jamais connu. Mes parents ont divorcés lorsque j’avais deux ans, mon père n’a jamais voulu me revoir et c’était mieux comme sa.

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